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Focus sur quatre kayaks de pêche de la société Rotomod

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Focus sur quatre kayaks de pêche de la société RotomodFocus sur quatre kayaks de pêche de la société Rotomod

Le kayak, une façon de pêcher qui a le vent en poupe !

La pêche est un sport qui peut se pratiquer en mer, en rivière ou en lac. Quoi de mieux pour pêcher que d’être au plus près du poisson, sur le cours d’eau et non sur la terre ferme ! Plus discret et silencieux que les bateaux à moteur, le kayak est un bon moyen de se rapprocher du poisson sans le déranger.

Les 4 kayaks idéaux pour aller pêcher

AcuNautique.com vous propose un focus spécifique sur 4 kayaks parfaits pour aller pêcher, développés par la société française Rotomod sous la marque RTM Fishing, selon une technologie de fabrication vraiment intéressante, le roto moulage, qui en fait des valeurs sûres, appréciées par tous les amoureux de cette discipline.
 
Focus sur quatre kayaks de pêche de la société Rotomod
Le K-Largo

Premier de cette sélection, une valeur sûre, à savoir le K-Largo. Ce kayak est un sit on top en aile de mouette tous gabarits. Il peut accueillir jusqu’à 120 kg à son bord. Homologué mer, il peut aller au-delà de la limite des 300m. Parfait pour les débutants de par sa stabilité, le K-Largo est vraiment sécurisant. Le K-Largo est un kayak très marin, idéal par mer formée et difficile. Il dispose aussi d’une étrave haute qui permet de rester au sec. Sa conception fait qu'il est très simple de remonter à son bord, s'il vous vient le désir d’aller chasser le poisson vous-même.

L’embarcation dérive très peu au vent, un avantage certain si vous voulez faire durer le plaisir. Possédant de nombreux espaces prévus pour le rangement, le K-Largo est le kayak parfait pour la pêche.

Focus sur quatre kayaks de pêche de la société Rotomod

L’Abaco

L’Abaco 360 (3,60 m) luxe se présente comme un sit on top monoplace. Ce kayak est une référence dans son domaine. 

Il présente une très bonne stabilité et offre une grande fonctionnalité, grâce à ses multiples rangements. Il permet aussi la pêche debout en eau calme. Plus destiné à un public expérimenté, il est très léger et silencieux. Très confortable et surtout très sécurisant, c’est le kayak idéal pour une longue session de pêche en mer.

Comme le K-Largo, ce kayak dérive très peu (hauteur réduite et quille importante). L’Abaco 360 luxe possède un logement prévu pour y mettre une sonde. Un outil très utile pour la pêche en mer. Il possède un caisson amovible en version luxe qui peut servir de vivier.

A noter que ce modèle existe également en 4,20 m, pour encore plus de stabilité dans les eaux turbulentes.

PS : Sur l’Abaco comme sur le K-largo, il est possible d’ajouter le moteur électrique Torqeedo :

=> découvrir le moteur électrique torqeedo

Focus sur quatre kayaks de pêche de la société Rotomod

Le Tempo

Le Tempo est pour sa part un kayak sit on top très long et rapide. Vraiment facile à diriger dans une mer formée, il offre une très bonne glisse une fois lancé. Ce modèle possède un rangement arrière important avec un filet protecteur.

Très polyvalent, il peut être utilisé tant pour la ballade que pour la pêche ou la randonnée.

Il possède de nombreux rangements, particulièrement adaptés aux pêcheurs pratiquant la traine.

Ce modèle dispose d’un espace pour accueillir un sondeur et un GPS. 

Focus sur quatre kayaks de pêche de la société Rotomod

Le Disco

Last but not least, le Disco est un kayak sit on top dont les performances se rapprochent de celles des kayaks pontés traditionnels. Il est bien adapté aux ballades et randonnées du fait de sa légèreté et de sa rapidité.

Destiné aux pagayeurs aguerris dont le poids n’excède pas les 80kg, il est aussi idéal pour la pêche à la traine. Très silencieux et rapide, c’est un redoutable atout pour les sessions de pêche. Pourvu de nombreux rangements, vous pourrez y caser tout votre matériel.

A noter que ce modèle est homologué mer et que vous pourrez donc l'utiliser au-delà des 300 mètres !

 

Au sujet de l'auteur de cet article

Franck David est le co-fondateur et gérant du site Avenuenautique.comTitulaire d’un master 2 en création d’entreprise, ce jeune Bordelais de 25 ans est passionné de Ski nautique, sport qu’il pratique depuis son plus jeune âge au lac de Cazaux (33). Il crée son entreprise en Mai 2013. La startup Bordelaise  a été imaginée en 2011 lorsque Franck a décidé d’acheter un ski nautique sur le net. Ne trouvant pas son bonheur et faisant face à la faiblesse de l’offre web, il a eu l’idée de lancer son propre site Internet dans le domaine. Quelques années plus tard, Avenuenautique.com fait désormais partie du paysage E-commerce Français. 


VIDEO - l'étrange yacht de Steve Jobs (Apple), traqué par un drone

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VIDEO - l'étrange yacht de Steve Jobs (Apple), traqué par un droneVIDEO - l'étrange yacht de Steve Jobs (Apple), traqué par un drone

S'il n'est pas le superyacht le plus élégant du marché, Venus est assurément l'un des plus étranges....

Parmi les superyachts étonnants auxquels le qualificatif de beau ne peut convenir, Venus attire autant qu'il peut révulser, engendrant où qu'il passe un véritable... buzz !

En bref, Venus ne laisse pas de marbre, à l'instar de sa poupe qui semble taillée dans un bloc de béton, et de son design de trois quarts arrière à la finesse pachydermique.

Dessiné par le designer français Philippe Stark, Venus est un yacht qui sied finalement bien à celui qui le commanda, Steve Jobs, fondateur de la marque informatique Apple, qui n'eut pas l'occasion de le voir achevé, emporté par un cancer avant que le navire ne soit mis à l'eau.

Un yacht qui magnifie la ligne droite et les angles tranchés, et dont la construction fut confiée à un chantier de référence, le néerlandais Feadship, filiale du groupe français de luxe LVMH.

Si la conception du navire a laissé un goût amer dans la bouche de Philippe Stark comme il s'en est expliqué dans la presse, quand Steve Jobs, au fil des rendez-vous de travail s'appropriait ses idées pour en revendiquer la paternité - une spécialité de l'américain -  puis quand l'architecte dut aller en justice pour se faire payer, il n'en demeure pas moins que Venus provoque des attroupements où qu'il aille, du fait de la notoriété de son armateur.

A l'instar de cette vidéo prise depuis un drone, à Saint Martin, lors du passage du pont de Simpson Bay.

 

 

LE DROIT DE LA PLAISANCE
Broché: 240 pages
Editeur : Ancre de Marine (12 décembre 2014)
Collection : SANS COLLECTION
Langue : Français
ISBN-10: 2841412970
ISBN-13: 978-2841412976
Dimensions du produit: 22 x 2,5 x 15 cm

Nouveau rebondissement dans l'affaire du Bugaled-Breizh

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Nouveau rebondissement dans l'affaire du Bugaled-Breizh

L'une des avocats des parties civiles vient de demander la récusation du juge devant présider le 3 mars prochain, l'audience d'examen du non-lieu prononcé en 2014 !

Pour Me Dominique Tricaud, le juge nommé ne peut présider cette audience, ayant "déjà connu l'affaire en sa qualité de magistrat" car dans ce cadre il aurait déjà exprimé "un parti pris susceptible de fausser sa lecture du dossier" !

Toujours selon Me Tricaud, la procédure de récusation vise à garantir l'impartialité des magistrats, conformément à l'article 6-1 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales.

Cette demande peut être suivie ou non par la justice. Dans ce cas, il revient de désigner un nouveau magistrat mais si la chambre d'instruction examine cet appel le 3 mars prochain, ce dernier sera mis en délibéré.

Rappelons que le Bugaled-Breizh, un chalutier breton avait sombré par temps calme le 15 janvier 2004 au large de la Cornouaille britannique, un naufrage qui avait entraîné la disparition des 5 membres de son équipage. Cet accident était survenu en pleines manoeuvres navales de l'Otan.

La rapidité du naufrage et le fait que les funes de chalut aient été retrouvées entrecroisées, démontrant que seule l'une d'elles a été crochée, ont toujours fait penser à un accident survenu avec un sous-marin, notamment nucléaire, qu'il soit français ou britannique.

La découverte sur zone, d'un radeau de sauvetage vide, n'appartenant pas au chalutier, vite coulé par les sauveteurs britanniques arrivés sur place, n'a fait que renforcer les soupçons, 

Il reste que l'instruction du dossier par la justice s'est à plusieurs reprises heurtée au secret défense et que cette thèse de l'accident naval n'a pas été retenue.

Si les familles des victimes ont fait appel du non lieu, leur avocat a envoyé un courrier à Jean-Yves le Drian, ministre de la défense, lui demandant de donner aux familles les moyens d'accéder à a vérité...

=> lire aussi : tous les articles sur le Bugaled-Breizh  

Entraînement de la Marine Nationale à la police des pêches aux Kerguelen

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photo - Marine Nationale

photo - Marine Nationale

Le 17 février dernier, la relève opérée entre le Floréal (F730) et l'Albatros (P681) a donné lieu à un entraînement des équipages aux opérations de police des pêches.

Un entraînement qui a consisté en une visite du patrouilleur l'Albatros par une équipe de la frégate Floréal, concluant ainsi la phase d'entraînement de l'équipage de cette dernière qui débute désormais sa mission dans les TAAF (Terres Australes et Antarctiques Françaises).

Pour l'équipage de l'Albatros, cet entraînement a permis de bénéficier de l'hélicoptère Panther de la frégate, le temps d'un exercice destiné à parfaire la formation de l'équipage aux manoeuvres aviation.

Rappelons que l'Albatros, le plus ancien bâtiment de la Royale, va définitivement quitter son terrain d'affectation, les TAAF, où  il était dédié à la police des pêches.

L'entraînement réalisé entre les deux navires aux Kerguelen est assez exceptionnel, dans le sens qu'il est extrèmement rare que deux navires militaires soient déployés en même temps.

Pour l'équipage de la frégate Floréal, le partage d'expérience effectué tout au long de 6 semaines de patrouille aura permis de récupérer des cartes précieuses annotées, fruit d'années de travail de l'Albatros.

Les TAAF sont une zone riche en ressources halieutiques, notamment la légine, espéce traquée par des palangriers du fait de son prix. La pêche dans les ZEE (zones économiques exclusives) des TAAF est dès lors très réglementée et seuls quelques navires français, basés à La Réunion, ont l’autorisation d’y pêcher en dehors des périodes de reproduction des oiseaux marins dans la ZEE des Kerguelen.

Une situation qui explique le nécessaire déploiement opérationel de bâtiments de la Marine Nationale dans cette zone.


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Entraînement de la Marine Nationale à la police des pêches aux Kerguelen

 

Le patrouilleur Albatros P681

Bâtiment des forces armées de la zone sud de l'océan Indien (FAZOI), le patrouilleur austral Albatros est basé à La Réunion (Ports-des-Galets). Il a été mis sur cale le 15 avril 1966 et lancé le 12 décembre 1966. Sa ville marraine est Saint-Denis de la Réunion.

Le patrouilleur austral Albatros a pour mission principale la surveillance et le contrôle des zones économiques exclusives (ZEE) des Terres Australes et Antarctiques Françaises (TAAF) jouxtant l'archipel de Crozet, les îles Kerguelen, Saint-Paul et Amsterdam.

L'Albatros procède notamment au contrôle des bâtiments en pêche dans les eaux des districts. Dans ces zones riches en poissons, comme la légine, et en crustacés, comme la langouste, la pêche est en effet très réglementée, voire même interdite. Les contrevenants surpris en pêche illégale sont donc arraisonnés et déroutés vers La Réunion.

L'Albatros peut également assurer des transports de matériel ou de passagers. Enfin il est apte à remplir des missions à caractère militaire sur tout théâtre d'opérations où sa présence pourrait être jugée utile.

Un santon de collection pour aider les sauveteurs en mer SNSM

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Un santon de collection pour aider les sauveteurs en mer SNSM

Les initiatives ne manquent pas pour aider les sauveteurs en mer SNSM, à l'instar de la démarche mise en place entre la station SNSM de Carro (SNS 073) sise à Martigues (13), et la société des Santons Fouque (13).

Si la crèche provençale regroupe tous les métiers et toutes les activités traditionnelles de la région, une activité faisait défaut jusqu'à présent, le sauveteur en mer, qui n'avait pas de santon le représentant ! 

Et pourtant, le sauveteur en mer constitue une activité ausi incontournable du port provençal que le pêcheur, le puisatier ou lou ravi ! La station des sauveteurs en mer de Carro est d'ailleurs l'une des plus anciennes de Méditerranée, qui a été créée en... 1868 !!

Cet oubli est désormais terminé, comme l'explique Richard Lamy, responsable de la communication de la station, sur ActuNautique.com : "Cette initiatve remonte à l'an dernier, quand Emmanuel Fouque nous a contacté pour nous proposer ce beau projet, consistant à réaliser un santon dédié aux sauveteurs en mer, qui n'existait pas jusqu'à présent, pour en reverser les bénéfices de la vente à notre station !!"

Une fois le projet avalisé, sa gestion au sein de la station a été confiée à son trésorier, Roland Manavella, qui s'est chargé de la prise des photos puis du suivi de la fabrication du moule, la difficulté résidant dans le rendu final des détails de l'équipement. Des détails assez étonnants, quand on sait que chaque santon est peint à la main, à Aix en Provence !

Au final, le santon des sauveteurs en mer est un bel objet, qui ne dénotera pas dans une crèche ou sur une étagère, et qui constituera pour ses acquéreurs, un vrai soutien concret aux sauveteurs en mer !

Les personnes souhaitant acquérir ce santon peuvent le faire directement depuis la boutique en ligne de la société Fouque, qui se charge de reverser les bénéfices de la vente à la station de Carro. (prix de vente 19 euros pour un modèle de 9 cms).

=> commander un santon sauveteur en mer

Un santon de collection pour aider les sauveteurs en mer SNSM

Yachting - Oceanco dévoile un projet de super-yacht doté d'une... chute d'eau !

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Yachting - Oceanco dévoile un projet de super-yacht doté d'une... chute d'eau !

Le salon de Dubaï est l'occasion pour le chantier néerlandais Oceanco de dévoilier plusieurs projets de superyachts dont Stiletlo, une unité de 107 m de long, à l'incroyable piscine !

Du 3 au 7 mars prochain, le salon de Dubaï, qui a lieu à la Mina Seyahi Marina, sera l'occasion de découvrir autant de nouveautés que de projets étonnants.

Dans ce domaine, le chantier néerlandais Oceanco fera l'actualité avec 3 projets d'envergure, Stiletto, un superyacht de 351 pieds dont le design estérieur est dû à Ken Freivokh, Rialto, une yacht de 109m de long signé Nuvolari Lenard et enfin Titan, une unité de 117m signée par le chantier lui même.

Trois unités exceptionnelles qui feront sans doute le buzz parmi une actualité yachting particulièrement chargée, sachant que la piascine de Stiletto réserve une petite surprise, à savoir une chute d'eau !

Plus de détails dans un prochain article !!


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du YACHTING

Voiles de Saint Barth - bataille des 30-60 pieds, un spectacle assuré

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photo : Christophe Jouany

photo : Christophe Jouany

Dans deux mois débutera l'édition 2015 des Voiles de Saint Barth !

Alors que le coup d'envoi de la 6e édition des Voiles de Saint-Barth sera donné dans un peu moins de deux mois, la liste des inscrits à l'épreuve continue de s'allonger.

Et si, à ce jour, des unités hors-normes telles que Comanche ou Rambler 88 ont annoncé leur présence, les bateaux entre 30 et 60 pieds sont aussi extrêmement nombreux à avoir confirmé leur participation à l'événement. La bagarre promet ainsi d'être belle dans les classes Spinnaker et Non Spinnaker, où l'homogénéité de la flotte est tout à fait remarquable et où le suspens dure généralement jusqu'au dernier bord de la dernière manche.

De quoi ravir les organisateurs qui ont, par ailleurs, décidé d'offrir le soutien des Voiles de Saint-Barth pour la deuxième année consécutive à l'ICM, l'Institut du Cerveau et de la Moelle épinière.

Pour cette 6ème édition, pas moins de 80 bateaux et plus de 1000 marins sont attendus à Gustavia, dont près de la moitié d'entre eux vont régater dans les classes Spinnaker et Non-Spinnaker.

Des classes qui regroupent des monocoques de course destinés spécialement à la régate côtière ou hauturière et qui offrent, chaque année depuis la première édition en 2010, des joutes nautiques à couteaux tirés et un spectacle toujours apprécié, à la fois des marins et des observateurs. "Ce sont des classes particulièrement compétitives avec un grand nombre de bateaux. La preuve, pour ce cru 2015, ils sont déjà près de 50 inscrits. Les skippers sont, certes, souvent moins connus que ceux des classes Maxi ou Mini Maxi mais le niveau de ces flottes est relevé et très homogène", précise Annelisa Gee, Responsable des relations Equipages.

On observera ainsi avec intérêt la bagarre très attendue entre les nombreux Swan, «Northern Child » de Christian Reynolds (Grande-Bretagne), « Stark Raving Mad VII » de Jim Madden (USA), « Music » de James Blakemore (Afrique du Sud), « Triple Lindy » de Joseph Mele (USA) ou encore « Puffy » de Patrick Demarchelier (SBH). Il en sera de même entre les VO 60 « Ambersail » de Linas Ivanauskas (Lithuanie), « Shaka » d'Alfred Paulsen (Allemagne), « Cuba Libre» de Johannes Schwartz (Autriche) mais aussi « Spirit of Adventure » de Derek Hatfield (Canada), qui s'était aligné au départ du Vendée Globe en 2008. Même topo chez les TP52 entre « Sorcha » de Peter Harrison (Grande-Bretagne), « Vesper » de Jim Swartz (USA) et Conviction-Team Vag mené par Clint Brooks (Barbade).

Les 40 pieds ne seront pas en reste non plus avec de nombreux Class40 et First 40 dans les rangs. Parmi ceux à surveiller de près, il y a « Spookie » de Steve et Heidi Benjamin (USA), le Kernan 47 « True » de Leo Van Den Thillart, skippé par Jono Swain puis le Ker 43 « Otra Vez » de William Coates. Deux d'entre eux se sont déjà illustrés lors de la précédente édition des Voiles mais tous se sont faits remarquer sur différentes épreuves prestigieuses. «Spookie » a notamment remporté la Fort Lauderdale to Key West (IRC Division) au mois de janvier tandis que « Otra Vez » - un plan Jason Ker tout en carbone, construit chez Salthouse Boatbuilders, en Nouvelle-Zélande – a, pour sa part, remporté la New York Yacht Club Annual Regatta en juin 2014 puis la célèbre Quantum Key West 2015.

"Depuis la mise à l'eau du bateau en 2011, nous avons connu de jolis succès", explique William Coates, Texan d'origine, aujourd'hui installé à Paris. "Nous régatons sur la côte Est des Etats-Unis et dans les Caraïbes. Au fil du temps, nous avons parfaitement optimisé Otra Vez pour les courses IRC. J'ai débuté la compétition sur le tard mais j'ai toujours été fasciné par les courses à la voile. Tout jeune, je lisais des tas d'articles sur la Fastnet Race, l'America's Cup… Aujourd'hui, je suis extrêmement heureux de participer à de belles courses telles que les Voiles de Saint-Barth, aux côtés de voiliers magnifiques comme Rambler, Comanche ou des TP52. J'adore Saint-Barth et c'est la seule course que ma famille et moi ne manquerions sous aucun prétexte. L'accueil y est formidable et l'organisation de première classe. Idem pour ce qui concerne les conditions météo et la concurrence. Plusieurs des meilleurs mondiaux en 40 et 60 pieds sont généralement présents. Je sais d'avance que cette 6e édition sera formidable".

Le port de plaisance de La Rochelle récompensé

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Le port de plaisance de La Rochelle récompensé
Le port de plaisance de La Rochelle récompenséLe port de plaisance de La Rochelle récompensé

La Rochelle classée N°1 au palmarès des ports de plaisance de la côte atlantique

Dans son numéro de mars 2015, notre confrère Voile Magazine a mis La Rochelle en lumière avec le résultat de l’enquête "90 escales passées au crible".

Le port de plaisance de La Rochelle y est classé premier des ports de la côte atlantique, soit une zone allant de Dunkerque à Hendaye.

La Rochelle a ainsi obtenu la note de 8.33/10, note élaborée à partir de 18 critères.

Ce résultat marque un vrai changement intervenu à La Rochelle, puisqu'il y a deux ans, la ville occupait la 9ème position de ce même classement ! Une remontée spectaculaire qui coïncide avec la fin des travaux d’extension des Minimes, durant lesquels le port a renouvelé et amélioré ses infrastructures et ses services.

L’enquête souligne la complémentarité de la proposition rochelaise, entre le charme du Vieux-Port et les services des Minimes.

A travers cette reconnaissance, sont valorisés la ville elle-même, son cadre, son art de vivre et tout ce qui en fait une destination d’exception.

=> toute l'actualité nautique de La Rochelle

 

Le port de plaisance de La Rochelle en quelques chiffres...
 

  • 5100 places à flots, dont 450 pour les escales. 
  • Des délais d’attente n’excèdant pas quelques mois pour l’attribution d’un poste d’amarrage (sur la plupart des catégories de longueur).
  • Un port de proximité, vivant : 50% des clients habitent la CDA et plus de 75% habitent à moins de 2h30 de route du port. Le taux de sortie par bateau et par an y est très supérieur à la moyenne nationale ; enfin, seulement 0,3% des bateaux nécessitent des travaux lourds (tous font l’objet d’un suivi personnalisé).
  • 160 entreprises spécialisées constituent un réseau dense, dédié au nautisme.
  • Un engagement fort pour le développement durable avec la certification ISO 14001 depuis 2006 et le Pavillon Bleu depuis sa création en 1985.

Fiche Métier - menuisier de marine

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Fiche Métier - menuisier de marine

Avec près de 40 000 emplois, le secteur du nautisme et de la plaisance offre de nombreux débouchés tant aux jeunes diplômés qu'aux personnes déjà en poste.

ActuNautique.com vous propose de découvrir aujourd'hui le métier de Menuisier de Marine, un métier dont la consonance traditionnelle ne doit pas faire oublier que le nautisme met en oeuvre des technologies extrêmement évoluées et que si la construction bois demeure, et a été supplantée depuis bien longtemps par le travail du composite, de l'aluminium et de l'acier.

Avec toujours une forte composante bois dans les bateaux !


=> accéder à la Fiche Métier : Menuisier de Marine

Le Bali 4.3 révolutionne le marché des voiliers catamarans

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Le Bali 4.3 révolutionne le marché des voiliers catamarans
Le Bali 4.3 révolutionne le marché des voiliers catamaransLe Bali 4.3 révolutionne le marché des voiliers catamarans
Le Bali 4.3 révolutionne le marché des voiliers catamaransLe Bali 4.3 révolutionne le marché des voiliers catamaransLe Bali 4.3 révolutionne le marché des voiliers catamarans

Le succès de visitorat rencontré par le Bali 4.3, le dernier né du chantier français Catana, sur le BOOT de Düsseldorf, semblait être à l'égal à la révolution apportée par ce modèle sur le marché, en terme de polyvalence et de modularité.

S'il est un stand qui ne désemplissait pas sur le Boot, avec des prises de rendez-vous du matin pour la fin de journée, c'était ben celui du stand Catana Bali, qui présentait le dernier-né du chantier, le Bali 4.3.

Cyrille Tricot, directeur des ventes de Catana Group nous présente ce modèle qui rafraîchit le segment des voiliers catamarans.

Cyrille Tricot, le Bali 4.3 avait fait le buzz à Paris, lors de sa première présentation. Au vu de la file devant votre stand de Düsseldorf, il semble que le whaou effect fonctionne toujours aussi bien, non ?

Cyrill Tricot - Effectivement, le BALI 4.3 rencontre le même succès à Düsseldorf qu'à Paris, et cela nous fait chaud au coeur. 

Le Bali 4.3 n'est pas un énième catamaran familial. Quel est le postulat sur lequel vous avez basé le développement de ce modèle très innovant ?

Cyrille Tricot - Pour le Bali 4.3, on est parti du fait que sur un bateau, on est soit dans le carré, soit dans le cockpit, mais jamais aux deux endroits en même temps ! Ce postulat nous a conduit à imaginer un catamaran où l'on est à la fois dans le carré et dans le cockpit ! Nous avons aussi souhaité offrir un bateau qui dispose d'un maxmum de volume, dans un minimum d'encombrement. C'est pourquoi nous proposons un concept totalement différent de ce qui existe par ailleurs, en éliminant les poutres avant et les poutres arrières, consommatrices de volume, pour les remplacer par une plateforme hyperrigide.

Comment se caractrise l'aménagement du Bali 4.3 ?

Cyrille Tricot - On accède au bateau par une porte arrière oscillo-basculante, qui vient complètement fermer le bateau si on le souhaite, et qui permet de proposer un carré immense, digne d'un  50 pieds. A l'avant du carré, on dispose d'un baie coulissante vers le bas qui permet de parfaitement réguler la ventilation, selon les besoins. Si on le souhaite, on peut ouvrir la porte arrière qui disparait au niveau du toit du roof, et le carré se transforme en un immense cockpit, un lieu de vie particulièrement agréable, ou personne ne se sent relégué loin des autres !

Autre point unique du Bali 4.3, le vrai cockpit avant, que vous êtes les seuls à proposer !

Cyrille Tricot - Le cockpit avant est une vrae innovation, au même titre que notre porte arrière oscillo-basculante. Il permet de créer un vrai espace de vie supplémentaire, en complément du flybridge, qui améliore de surcroît le passage à la vague, en cas de besoin, notre carène étant planante !

Avec le Bali 4.3, vous affichez de grandes ambitions. Quelles sont-elles ?

Cyrille Tricot - Le Bali 4.3 est clairement un bateau de volume pour notre chantier, qui s'adresse tant aux compagnies de charters souhaitant pouvoir disposer d'un modèle enfin polyvalent, dans un emcombrement réduit, qu'à une clientèle de particuliers que n'adressait pas notre chantier, nos Catana étant des unité de luxe, très exclusives, forcément plus onéreuses. En terme de prix, le Bali 4.3 est calé sur des unités telles l'Helia 44 de Fountaine Pajot ou le Lagoon 450. 

Quelques chiffres depuis le lancement de la gamme Bali ?

Cyrille Tricot - Depuis le lancement de la gamme Bali à Cannes, nous avons déjà vendu 10 bateaux, entre le 4.5 et le tout nouveu 4.3 ! Il faut savoir qu'il y a 8 moi, le Bali 4.3 n'était qu'une vue de l'esprit ! 

Quelles évolutions de gamme à venir ?

Cyrille Tricot - Nous allons lancer le Bali 4.3 MY, à savoir unmotoryacht, un segment de marché très prometteur, et nous planchons désormais sur le Bali 4.0 qui nous permettra d'élargir encore notre clientèle sur un marché à gros potentel là aussi, sur lequel l'offre produit est assez basique.


=> toute l'actualité du Boot Düsseldorf
 

Vidéo - sauvetage d'un pousseur aspiré par le courant, sous un pont

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Vidéo - sauvetage d'un pousseur aspiré par le courant, sous un pont
Vidéo - sauvetage d'un pousseur aspiré par le courant, sous un pont

La navigation fluviale réserve parfois de bien mauvaises surprises !

Le 21 février 2012, à Portsmouth (NH - USA), sur la rivière Maine New Hampshire, le pilote d'un pousseur fluvial, le Miss Stacy, perd le contrôle de son navire qui se retrouve happé par le courant, bloqué sous un pont du Memorial (Memorial Bridge).

Pouvant à tout moment être renversé et sombrer, le navire sera secouru au tout dernier moment par un remorqueur local, venu en toute hâte.

Des images étonnantes...

Volvo Ocean Race - Mapfre s'impose à Auckland

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Volvo Ocean Race - Mapfre s'impose à Auckland

Première victoire d'étape pour l'équipe espagnole dans le haut lieu mondial de la voile.

La quatième étape de la Volvo Ocean Race aura été la bonne pour le Team Mapfre skippé par Xabi Fernandez, qui se sera jouée sur les dernières heures de course, quand Team Dongfeng jusqu'alors en tête de l'étape, s'est soudainement retrouvé scotché sous un nuage et a vu, impuissant, Mapfre et Abu Dhabi lui passer devant !

Pour Team Dongfeng, cette troisième place au classement est la plus mauvaise obtenue depuis le départ de la Volvo, puisque le bateau de Charles Caudrelier avait terminé second des deux premières étapes et premier de la troisième.

Pour Team Mapfre en revanche, cette victoire constitue une bonne surprise après un débutde course où les compétences de management d'Iker Martinez ont sérieusement été remises en cause lors des deux premières étapes.

Son départ opportun lors des deux étapes suivantes, pour lui permettre de préparer son engagement olympique, a laissé le champ libre à Xabi Fernandez, plus consensuel, qui signe là une belle victoire.

C'est hier au classement de 16h40 (HF), que les Espagnols ont réussi à prendre l’avantage sur Ian Walker et son équipage (Abu Dhabi) et à s’installer en tête de la flotte.

Ils n’avaient alors que 0.7 mille d’avance sur le bateau emirati.  

Tout l’enjeu dans les heures qui ont suivi a été de protéger cette place et de contrer les attaques des deux poursuivants, Abu Dhabi et Dongfeng. « Cette étape a été très difficile. Il y a eu beaucoup de changements de places. Nous avions beaucoup appris sur l’étape 3 et là, nous avons vraiment bien navigué. Nous n’avions pas démarré cette Volvo comme souhaité. Nous sommes donc très contents du résultat » raconte le skipper Xabi Fernandez.

Il s’offre sa première victoire en tant que skipper du Volvo Ocean 65.

Jean-Luc Nélias, le navigateur français de Mapfre, arrive quant à lui à Auckland pour la deuxième fois en vainqueur après sa victoire avec Groupama sur cette même étape lors de la dernière édition. Mapfre a franchi la ligne d’arrivée à 9h 31’ 20’’ (HF) seulement 4 minutes et 25 secondes avant le deuxième, Abu Dhabi Ocean Racing.


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VOLVO OCEAN RACE
2014-2015

 
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Lifestyle - quand la Volvo Ocean Race se décline... sur la route !

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La Volvo Ocean Race est l'occasion, depuis des années, pour le constructeur automobile Volvo, de proposer une série spéciale toujours très recherchée...

L'univers de la voile est indissociable de la marque automobile Volvo.

Notamment depuis l'arrivée en 2002 du constructeur suédois comme principal sponsor de la Whitbread, la mythique course autour du monde à la voile et en équipage lancée en 1973, qui changea d'ailleurs de nom à cette occasion pour opter pour celui de Volvo Ocean Race ou VOR ! 

Une course monotype, actuellement basée sur des VOR 65 (auparavant des VOR 70), qui se décline également... sur la route, avec 4 roues !! 

=> en savoir plus sur la Volvo Ocean Race

Car Volvo oblige, la Volvo Ocean Race est traditionnellement déclinée sur certains modèles de la marque scandinave avec une difféence de taille par rapport aux VOR 65 : dans ce cas, fi des performances pures et de l'esprit spartiate de ces formules 1 des mers : les routières siglées VOR se caractérisent avant tout par leur confort, leurs haut niveau de finition et leur sécurité !!

Autant de caractéritiques qui en font des modèles très recherchés, et quelques années après leur mise en circulation, très courrus sur le marché de l'occasion !

Cette année, la série spéciale Volvo Ocean Race est basée sur le XC60, le modèle le plus vendu chez Volvo, un SUV familial bien sous tous rapports, particulièrement respectueux de l'environnement du fait de ses étonnants moteurs 4 cylindres downsizés et suréquipé dans le domaine de la sécurité.

Un modèles très polyvalent et qui n'étonnera pas garé sur le quai d'un port de plaisance ou pas loin d'une jetée.

L'esprit yachting ?


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VOLVO OCEAN RACE
2014-2015

 
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Lifestyle - quand la Volvo Ocean Race se décline... sur la route !
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Volvo Ocean Race - Dongfeng et Abu Dhabi à égalité après 4 étapes

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Volvo Ocean Race - Dongfeng et Abu Dhabi à égalité après 4 étapes

Un fauteuil pour deux à l'issue de la quatrième étape de la Volvo Ocean Race !

Le titre du film américain de John Landis datant de 1983 est la meilleure synthèse de la situation qui prévaut à l'issue de la quatrième étape de la Volvo Ocean Race 2014-2015, qui vient de s'achever et se déroulait entre Sanya et Auckland, puisque Team Dongfeng et Abu Dhabi se partagent la première place du classement général !

Charles Caudrelier et ses hommes auront occupé toutes les places dans cette étape entre Sanya et Auckland. Suite à différents problèmes techniques, ils ont même été un temps dernier !! 

Le skipper français affichait donc une certaine frustration de terminer troisième après avoir souvent été premier.

« Toute l’équipe a fait un boulot extraordinaire. Mais je crois que sur la fin, tous les nuages étaient contre nous. On a perdu beaucoup sous un nuage dans la nuit de jeudi à vendredi. Perdre 10 milles d’un coup, c’est énorme dans ces conditions. Et puis, nous avons fait aussi quelques erreurs la nuit dernière. On aurait pu se décaler un peu plus au large pour chercher davantage de pression. Je suis un peu déçu » expliquait-il à l’arrivée avant de poursuivre sur sa fierté d’être à la tête d’une équipe soudée et qui ne cesse d’apprendre.

« Les gars sont très forts, ils n’ont jamais baissé les bras. Erwan (Israël, ndlr) a fait un super boulot. Au départ de Sanya, il avait beaucoup de pression sur les épaules, tout comme moi d’ailleurs. Si je l’avais écouté un peu plus, peut être que nous aurions fait mieux. Nous avons prouvé que nous pouvions aller vite. Je suis de plus en plus en confiance avec la vitesse du bateau. Et en confiance pour la prochaine étape. Oui, nous allons revenir très fort pour la prochaine étape ».


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Volvo Ocean Race - Dongfeng et Abu Dhabi à égalité après 4 étapes

Après la taxe sur les mouillages, l'éco-taxe sur les bateaux de plaisance !

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Photo - Recycleurs Bretons pour ActuNautique.com

Photo - Recycleurs Bretons pour ActuNautique.com

Le projet de loi sur la transition énergétique, présenté au parlement, a été amendé au sénat par un texte du sénateur écologiste Ronan Dantec (Loire Atlantique) créant une éco-taxe sur les bateaux de plaisance !

Décidément, pour les élus de l'actuelle majorité, le secteur de la plaisance et du nautisme est le terrain idéal pour y faire naître de nouvelles taxes et impôts, car un mois à peine après le projet de taxe sur les mouillages forains dans les aires marines protégées, initié par un élu corse, annulé mais qui devrait refaire surface début mars à l'Assemblée Nationale, c'est un élu de Loire-Atlantique qui propose maintenant de créer une éco-taxe sur les bateaux de plaisance.

Cet amendement, voté le 19 février, juste avant les vacances (!!), crée de facto une responsabilité élargie des producteurs (REP) pour les entreprises mettant sur le marché des bateaux de plaisance sur le territoire français, à l'instar de ce qui existe dans l'électroménager notamment.

Comme on achète une machine à laver la vaisselle, le fabricant de celui le commercialisant en France s'oblige à cotiser à une éco-organisme chargé de la prise en charge de la récupération et de la destruction dudit lave-vaisselle en fin de vie, il en serait de même dans le nautisme et la plaisance !

Ce principe existe dans l'électro-ménager, le papier, l'emballage et l'automobile par exemple.

Une approche inadaptée au secteur du nautisme

Si la nécessité de gérer la fin de vie des bateaux de plaisance est une vraie question, l'approche d'eco-taxe proposée par le sénateur Dantec - pourtant issu d'un département où l'industrie nautique est un secteur clé - est profondément erronée et inadaptée au secteur, car le principe de faire reposer sur les constructeurs de bateaux neufs, la destruction des bateaux en fin de vie, est une erreur complète de jugement !

Ce, pour 3 raisons :

  • un bateau de plaisance ayant une durée de vie de 30 à 50 ans, il est difficile d'appliquer le même principe que pour des secteurs ou la durée de vie des produits varie de 2 à 5 ans ! 
  • un bateau est un bien qui change de propriétaire entre 7 et 10 fois tout au long de sa vie, au travers du marché de l'occasion. Il est inimaginable de faire porter au travers de cette taxe, soit sur le premier qui l'a vendu, soit sur le dernier qui l'a possédé, l'intégralité de l'obligation de toute la chaîne de déconstruction.
  • cette démarche enfin, est totalement absurde dans un marché européen, car elle n'existe nulle part ailleurs !! Sa mise en place en France conduirait les acquéreurs à concrétiser leur achats à l'étranger, pour une livraison in-fine de leur bateau.... en France ! 

La France, N°1 européen dans la déconstruction des bateaux de plaisance

Si le principe d'eco-taxe proposé est profondément inadapté au secteur de la plaisance et du nautisme, la question de la gestion de la fin de vie des bateaux de plaisance est une vraie question, sur laquelle la France a une grande longueur d'avance sur le reste du monde !

Dès 2006, le filière nautique hexagonale a ainsi été à l'origine de la créaton de l'association pour la plaisance éco-responsable, qui a créé une filière de déconstruction UNIQUE EN EUROPE !!

Une filière qui n'existe ni en Allemagne, ni dans les pays scandinaves, pourtant en pointe dans le domaine de la protection de l'environnement.

Cette filière traite environ 400 bateaux par an, un chiffre modeste au regard des 2000 bateaux partant à la casse chaque année (sur un parc total de bateaux de plaisance d'environ 1 million d'unités), mais en croissance et qui a permis de valider une organiation industrielle et d'éprouver des techniques de déconstruction.

D'autres solutions à trouver que l'éco-taxe 

S'il semble nécessaire de trouver un mécanisme destiné à renforcer le taux de bateaux de plaisance en fin de vie, déconstruits selon des méthodes respectueuses de l'environnement, l'amendement proposé par le sénateur Dantec relève une fois de plus, de l'exemple à ne pas suivre !

Celui d'une techno-structure déconnectée de la réalité économique, qui "pond" un texte, sans discussions préalables avec les industriels de cette filière, sans réfléchir ni à la situation existante, ni aux conséquences directes de sa mise en oeuvre !

Une démarche peu efficiente, où, au lieu de réunir tous les acteurs du nautisme autour d'une table, pour élaborer un texte pouvant immédiatement être mis en oeuvre, certains élus se contentent de réaliser un copier-coller de textes existants, pensant que cela ira bien ! 

Car disons le clairement : ce projet, s'il était voté en l'état, aurait pour conséquence directe du tuer le secteur français de la distribution de bateaux de plaisance, déjà mal en point suite à 7 années de crise, en encourageant les plaisanciers français à aller passer commande en Belgique, en Italie ou en Espagne !! 

Mais cet aspect auquel tout professionnel de la filière a immédiatement pensé en lisant l'amendement voté au sénat, le sénateur Dantec ne l'a sans doute même pas imaginé, lui qui a fait toute sa carrière dans l'organisation d'événements culturels, avant que de devenir premier adjoint à Jean-Marc Ayrault à la mairie de Nantes puis d'être propulsé sénateur écologiste de Loire-Atlantique...

A quand une vraie concertation entre les politiques et la filière nautique sur la question de la gestion de la fin de vie des bateaux de plaisance ?


=> Eco-taxe sur les bateaux de plaisance :
présentation de l'amendement Dantec

 

Eco-taxe sur les bateaux de plaisance - le texte de loi épluché

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Photo - Recycleurs Bretons  pour ActuNautique.com

Photo - Recycleurs Bretons pour ActuNautique.com

Jérôme Heilikman, président de Legisplaisance et chargé de la rubrique juridique d'ActuNautique.com, décortique l'amendement relatif à l'éco-taxe sur les bateaux de plaisance introduit par un député écologiste dans le cadre du projet de loi transition énergétique

Après son adoption en première lecture par l’Assemblée nationale le 14 octobre 2014, le projet de loi relatif à la transition énergétique pour la croissance verte a été examiné par le Sénat en séance publique du 10 au 19 février 2015.

La loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte ainsi que les plans d’action qui l’accompagnent doivent permettre à la France de contribuer plus efficacement à la lutte contre le dérèglement climatique et de renforcer son indépendance énergétique en équilibrant mieux ses différentes sources d’approvisionnement.

Dans ce cadre, un amendement porté par Ronan Dantec, sénateur écologiste de la Loire-Atlantique sur le projet de loi de transition énergétique, se fixe comme objectif de répondre au besoin de gestion des bateaux de plaisance en fin de vie, qui font souvent l'objet d'abandon par leur propriétaire, faute d'une filière et d'un financement adaptés.

Proposition

La section 2 du chapitre Ier du titre IV du livre V du code de l’environnement est complétée par un article L. 541-10-10 ainsi rédigé :

« Art. L. 541-10-10. – À compter du 1er janvier 2017, toutes les personnes physiques ou morales qui mettent sur le marché national à titre professionnel des navires de plaisance ou de sport sont tenues de contribuer ou de pourvoir au recyclage et au traitement des déchets issus de ces produits. « Les modalités d’application du présent article, sont fixées par décret en Conseil d’État. »

Selon le sénateur, "Le présent amendement vise à résoudre le problème de la gestion des bateaux de plaisance en fin de vie et qui font souvent l’objet d’abandon par leur propriétaire, faute d’une filière et d’un financement adaptés.

La mise en place de ce dispositif repose d’une part sur une contribution base REP pour tous les nouveaux navires mis sur le marché, et sur un financement par les utilisateurs, via un complément à la DAFN actuellement perçue par les Douanes, pour les bateaux déjà en usage. Cela évite un déséquilibre financier de la filière si seules les contributions sur les bateaux neufs devaient financer l’intégralité de la filière. A terme, seules les contributions perçues sur les mises sur le marché assureront le financement de la fin de vie des navires hors d’usage".

Cette contribution est de nature à créer une véritable filière de démantèlement, et à développer massivement les solutions d'éco-conception des navires

Lien de l'amendement : http://www.senat.fr/amendements/2014-2015/264/Amdt_839.html

Le régime juridique des navires de plaisance en fin de vie ?

La Convention de Hong Kong exclut de son champ d'application les navires militaires, les navires de commerce de moins de 500 tonnes de jauge brute, les navires de pêche et les navires de plaisance.

En France, des réflexions ont été engagées sur le sort des navires en fin de vie. Il en ressort la nécessité de créer une filière de démantèlement française et européenne. Cette logique va dans le même sens que la volonté «d'écologiser» le démantèlement des navires, initiative soutenue par les acteurs locaux.

La Mission interministérielle relative au démantèlement des navires civils et militaires en fin de vie (MIDN) a établi différents rapports montrant les problématiques que le démantèlement soulève en Europe, et a mis sur la table plusieurs propositions

Ces propositions sont en partie reprises par la Mission parlementaire « démantèlement des navires » dans un rapport de 2010. Un des engagements de cette dernière est de « porter un message au niveau international pour accélérer la ratification de la Convention de Hong Kong de mai 2009 et engager les négociations pour son évolution ».

Elle souhaite ainsi contribuer à l'émergence de réglementations contraignantes.

Quelles solutions pour les navires de plaisance ?

L'écologisation d'une activité pourrait se définir comme étant le fait de tendre, pour cette activité, à un développement économique qui soit durable, c'est-à-dire qui réconcilie l'environnement et l'activité économique. Pour que l'écologisation du démantèlement ait lieu, l'idée de la mise en place d'une taxe à l'achat du navire pour prévoir le démantèlement dès le début du cycle de vie du navire a été soulevée

Une directive européenne de 2006 définit le déchet comme « toute substance ou tout objet dont le détenteur se défait ou a l'obligation de se défaire en vertu des disposition nationales des Etats membres ». Le principe pollueur-payeur est ici appliqué puisque c'est au détenteur du déchet de supporter le coût de l'élimination. Nous pouvons remarquer que le coût de la gestion de la fin de vie des produits électroniques est aujourd'hui intégré dans leur prix. Il s'agit de l'éco-participation.

Ce principe pourrait être envisageable pour certaines catégories de navires, où « l'éco-participation maritime » serait due à l'achat d'un navire. Concernant les navires de plaisance, la MIDN propose l'instauration d'une éco-taxe sur la vente des navires neufs. Son taux serait variable en fonction de critères objectifs sur la « recyclabilité » du navire et alimenterait le fonds plaisance.

Le problème de cette solution est qu'elle ne concerne que les navires neufs, et ne pourrait donc fonctionner que sur le long terme. Notons que le terme « éco-taxe » retenue par la Commission semble plus contraignant et plus fort que celui d'« éco-participation ». On peut de nouveau y voir la volonté de mettre fin aux pratiques de recyclage « sauvages ».

L'éco-conception est le fait d'intégrer l'environnement dès la phase de conception d'un produit et jusqu'à la fin de son cycle de vie, c'est-à-dire pour les navires de leur construction jusqu'à leur démantèlement

Pour aller plus loin : ESVELIN.M, Le régime juridique des navires en fin de vie, Mémoire de master.


=> après la taxe sur les mouillages,
l'éco-taxe sur les bateaux de plaisance !

 

 

Au sujet de l'auteur de cet article

Titulaire du Master 2 Droit et sécurité des activités maritimes et océaniques de la Faculté de droit de Nantes, Jérôme Heilikman est juriste spécialisé en droit maritime et droit social des marins. Il travaille depuis 2012 à la Sous-direction des affaires juridiques de l’Enim (sécurité sociale des marins) en charge spécifiquement de la mobilité internationale des marins et de la participation à la codification du Code des transports dans sa partie règlementaire.

En parallèle il a cofondé Légisplaisance, association rochelaise qu’il préside et dont l’objet est d’expliquer le droit de la plaisance et de mettre en relation les spécialistes du droit et les plaisanciers. L’association a publié fin 2014 le guide du droit de la plaisance.

Pour aller plus loin...

L’association LEGISPLAISANCE a publié « Le droit de la plaisance - Guide en 50 fiches thématiques » aux Éditions Ancre de Marine et parrainé par François GABART, vainqueur du Vendée Globe à bord de MACIF. Ce guide juridique et pédagogique est un nouvel outil de référence pour les plaisanciers et sera, un compagnon de voyage indispensable pour affronter la houle juridique....

site internet : http://www.legisplaisance.fr
Page facebook : http://www.facebook.com/legisplaisance

 

LE DROIT DE LA PLAISANCE
Broché: 240 pages
Editeur : Ancre de Marine (12 décembre 2014)
Collection : SANS COLLECTION
Langue : Français
ISBN-10: 2841412970
ISBN-13: 978-2841412976
Dimensions du produit: 22 x 2,5 x 15 cm

VIDEO - le super-yacht Chopi-Chopi se gare au chausse-pied, à Bonifacio

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VIDEO - le super-yacht Chopi-Chopi se gare au chausse-pied, à BonifacioVIDEO - le super-yacht Chopi-Chopi se gare au chausse-pied, à Bonifacio

Rentrer un super-yacht dans un port difficile d'accès est toujours un spectacle impressionnant !

A l'instar de l'arrivée de M/Y Chopi-Chopi, le 16 juillet 2014, dans le port de Bonifacio, dont la configuration très spécifique n'en fait pas le port le plus simple d'accès, pour ce type d'unité.

Lancé en 2013, Chopi Chopi est le plus long yacht jamais construit par le chantier italien CRN (Groupe Ferretti), avec ses 80m de long !

Un yacht unique, lancé pour les 60 ans du chantier, et qui se caractérise par son design ascéré signé Zuccon International Project, son grand luxe (design intérieur Laura Sessa), sa timonerie digne de celle d'un paquebot et sa livrée associant à une coque couleur coquille d'oeuf, des superstructure blanc neige, réalisées avec une peinture Awlgrip du plus bel effet.

Mesurant donc 80m de long pour un déplacement de 1800 tonnes, Chopi Chopi embarque 12 invités, répartis dans 6 cabines dont une immense suite armateur de 200m2, et 33 membres d'équipage, à une vitesse de croisière de 16 noeuds.

 

Technical date M/Y Chopi Chopi 

SHIPYARD    CRN S.p.A. (Ferretti Group)
MODEL    CRN 80 MT
YARD ID NUMBER    CRN 129
TYPE    Displacement hull
L.O.A.     80.50 m
L.B.P.    67.80 m
MOULDED BEAM    13.50 m
DRAFT    3.30 m
MOULDED DEPTH    6.60 m
FULL LOAD DISPLACEMENT    1,773 tons
GROSS TONNAGE    2363 GRT
HULL COLOR    Eggshell
SUPERSTRUCTURE COLOR    Snow white
PAINT    Awlgrip
GUEST    12 people (5 double cabins + 1 Owner suite)
CREW    33 people
FUEL TANK    320,000 litres
WATER TANK    66,000 litres
FRESH WATER PRODUCTION    44,000 litres / day
MAIN ENGINE    2xCaterpillar 3516B-C 1640 Kw@1600 rpm
MAIN GENERATOR    Caterpillar C18 (2x275KW), Caterpillar C9 (1x175KW e 1x150KW emergency)
BOWTHRUSTER    Schottel + EAS electric engine and electronic control
MAX SPEED (HALF LOAD)    16 knots
CRUISING SPEED    15 knots
RANGE @ 12 KNOTS    6,000 nautical miles
HELICOPTER PLATFORM    Suitable for helicopters up to 3,000 kg
NAVAL ARCHITECTURE    CRN Engineering
EXTERIOR DESIGN    Zuccon International Project
INTERIOR DESIGN    Laura Sessa
WORKERS EMPLOYED FOR SHIP BUILDING    80 people / day on average
WORKED HOURS    660,000 hours
VALUE    More than € 80 million
LIFTS    2, serving the six decks of the vessel
ELECTRICAL CABLES    Approximately 100 km, 1 km of which fibre optics
VIP INTERIOR AREAS    1067 sq m
OWNER DECK AREA    190 sq m
VIP & OWNER OUTDOOR AREAS    770 sq m
CREW INTERIOR AREAS    419 sq m
GALLEY    51 sq m
TENDERS    4 tenders (Dariel Limo 9.5 m, Dariel Ribo 7 m, Riva Iseo 8.5 m, Sea Natique 210) + 1 rescue boat (Solas Narwhal 4.2 m)
CLASSIFICATION    Lloyd’s Register of Shipping LR 100 – A1 – SSC – YACHT (P), MONO, G6, LMC,UMS MCA LY2 compliance

 

VIDEO - le casting plein de charmes des Miss Reef 2015 au Chili

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VIDEO - le casting plein de charmes des Miss Reef 2015 au ChiliVIDEO - le casting plein de charmes des Miss Reef 2015 au Chili

Un casting bien dans la tradition de la marque d'équipements de surf !

L'univers du surf n'est pas sexiste pour deux sous, qu'on se le dise, et si le calendrier Miss Reef met en avant les plus belles paires de fesses sur les spots les plus fameux (voir notre vidéo), l'élection annuelle de Miss Reef est une tradition qui émaille la vie du secteur, à l'instar du calendrier Pirelli pour l'automobile, ou du salon de l'agriculture pour le monde rural.

Dans ce contexte, le casting qui vient d'avoir lieu au Chili, à Vina del Mar, pour l'élection de Miss Reef 2015, destiné à sélectionner le modèle qui représentera la marque pendant toute une année, parmi les 10 candidates présentes, s'est révélé plein de charmes, toutes les parties présentes pour l'occasion n'ayant d'yeux que pour les... dernières collections de la société Reef ! 

Des sandales de surf incontournables !

On l'aura bien compris !

Troisième faillite en 3 ans pour les voiliers Archambault (86)

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Troisième faillite en 3 ans pour les voiliers Archambault (86)

Le chantier poitevin Archambault Yachts, constructeur de voiliers de course-croisière bien connus, tels le A35 et le A31, a déposé son bilan le 3 février 2015, 10 mois à peine après sa dernière reprise ! 

Mauvaise nouvelle en provenance de Dangé Saint Romain, dans la Vienne.

Le chantier de construction de voiliers de plaisance Archambault Yachts a en effet été placé en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Poitiers, une procédure que le chantier connaît bien, pour l'avoir déjà subie en août 2012 puis en février 2014 !

A chaque fois, un plan de cession était intervenu, à l'occasion duquel les effectifs avaient été comprimés, mais à chaque fois, il semble que la potion n'ait pas fonctionné.

En novembre 2012, le groupe avait été repris une première fois par Gilles Caminade, un professionnel du BTP, propriétaire d'un voilier de la marque, un A35, qui avait décidé de restructurer la distribution pour favoriser des ventes directes, et s'était attelé à la fin de la mise au point du A27, et au développement d'un 45 pieds, le A13. (voir notre vidéo). Pour réussir cette reprise, il s'était appuyé sur le management de la société, à savoir Emmanuel et Jean-Jacques Archambault, fils du fondateur du chantier. La société bénéficait d'un capital de 300 000 euros et se dénommait Archambault Boats.

Une stratégie qui n'aura pas suffi pour éviter un nouveau naufrage deux ans plus tard, survenu le 6 février 2014. Le repreneur d'alors, Thomas Duhen, issus du pétrolier offshore et passionné de nautisme, met 20 000 euros de capital, éponge les dettes et rebaptise la société Archambault Yachts. Son objectif est de terminer le A13, plus gros voilier de course-croisière construit par le chantier depuis le A45, et de serrer les boulons : 10 des 18 salariés de l'entreprise sont conservés.

Las, confronté à la crise et à la concurrence de chantiers aux offres plus en adéquation avec les attentes du marché, notamment de chantiers tels Sructures (voiliers Pogo), RM Yachts et JPK, Archambault Yachts ne sera pas parvenu à sortir la tête de l'eau et n'aura tenu qu'une petite année.

Malgré nos différents appels, nous ne sommes pas parvenus à contacter Thomas Duhen, injoignable pour l'instant.

Découvrir les métiers du nautisme, les 6 et 7 mars à l'INB de Concarneau (29)

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Découvrir les métiers du nautisme, les 6 et 7 mars à l'INB de Concarneau (29)

L'INB ouvre ses portes à la découverte des métiers du nautisme et de ses différentes formations les 6 et 7 Mars 2015.

La filière nautique emploie près de 40 000 personnes en France, pour des métiers extrêmement variés, allant de menuisier de marine par exemple (découvrir la Fiche Métier Menuisier de Marine), à architecte naval (découvrir la fiche métier Architecte Naval), en passant par ceux de mécanicien, se stratifieur, de gréeur, d'accastilleur, de moniteur de voile ou de commercial par exemple.

Depuis près de 50 ans, l'INB (Institut Nautique de Bretagne) s'est imposé comme un centre de formation de référence, avec des programmes de formation concentrés dans 3 activités bien précises :

  • Technico-commerciaux (en initiale, alternance ou reconversion)
  • Maintenance nautique et mécanique (baccalauréat professionnel ou CQP)
  • Enseignement de la voile (brevet d’état, assistant moniteur de voile)

Autant de formations mises en avant lors des Journées Portes Ouvertes organisées par l'INB à Concarneau, les 6 et 7 mars prochains, au cours desquelles les visiteurs pourront : 

  • Découvrir les différents métiers du nautisme et les formations qui permettent d’y accéder.
  • Découvrir les locaux et le matériel mis à disposition des stagiaires.
  • rencontrer les responsables de formations "technique", "nautique" et "commerciale"
  • échanger avec les élèves actuellement en formation

​Horaires des JPO :
le 6 Mars de 14h00 à 17h00
le 7 Mars 2015 de 09h00 à 17h00
2 rue Bayard - BP 70237
29182 Concarneau cedex
Tel : 02 98 50 84 84

 

L'INB en 7 Grandes Dates 

  • 1965 les Glénans créent l'Ecole des Chefs de Bases nautiques (ECB).
  • 1973 L'ECB devient une école technique privée, ce qui lui permet de collecter la taxe d’apprentissage.
  • 1985 L'école devient l'Institut Nautique de Bretagne.
  • 1996 Année riche en événements : création du CFA Nautisme, homologation du diplôme de Technico-commercial de l’industrie et des services nautiques par l’État (niveau Bac +2), mise en place de la formation préparatoire au CQP agent de maintenance.
  • 2001 "L'Odyssée de l'espace" : l'INB gagne de la place grâce à la rénovation et à l'équipement de ses locaux rue Bayard et en devient propriétaire.
  • 2003 L'INB loue un atelier industriel équipé d’un pont roulant pouvant accueillir des bateaux de 30 à 60 pieds. Les stagiaires travaillent sur des supports grandeur nature, pour être toujours au plus près de la réalité du travail de chantier.
  • 2009 Ouverture du cursus Bac Pro Maintenance Nautique
Découvrir les métiers du nautisme, les 6 et 7 mars à l'INB de Concarneau (29)
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